La 8è édition du forum Makutano se clôture ce jeudi 27 octobre à Mbujimayi, province du Kasaï Oriental. Cette édition est placée sous le thème « Infiniment territoires » : 145 raisons de papier sur la RDC ».
Nicole Sulu, Fondatrice du Forum Makutano a, dans son mot de bienvenue prononcé à l’occasion de ces assises, indiqué le choix de Mbujimayi s’inscrit dans le souci de voir chacun en ce qui le concerne, créé « les conditions d’émergence privées dans le secteur dynamique créateur des richesses et d’emplois »
« C’est un plaisir ce 27 octobre dans cette ville de Mbujimayi, la terre de nos ancêtres que je vous souhaite la bienvenue pour cette 8 ème édition du forum Makutano sous le thème « Infiniment Territoires ». Nous avons déjà eu à organiser ce forum l’année passée dans le Haut Lomami et Nord Kivu. Le choix de Mbujimayi aujourd’hui comme d’autres provinces avenir, s’inspire de la remontée de tous, chef de l’État, société civile ainsi que l’État pour initier le développement de notre pays à partir de notre devoir, en créant chacun en ce qui le concerne, les conditions d’ermegences privées dans le secteur dynamique créateurs des richesses et d’emplois« , a dit Nicole Sulu Tshiyoyo.
En outre, elle a salué l’engouement qu’a suscité ce forum. Pour elle, ceci est appel à tracer le chemin pour répondre aux défis de l’amélioration des conditions de vie des populations.
« Je voudrais souligné ici une réponse manifestée par votre présence massive et qualitative à notre invitation, l’enthousiasme des autorités du pays , l’engouement de la population ainsi que de toutes les autres couches de la société civile constitue en soi un appel à tracer le chemin pour répondre aux défis auxquels nous sommes confrontés et l’amélioration des conditions de vies de notre population« , a-t-elle conclu.
Il sied de rappeler que ce forum s’était ouvert le 24 octobre dernier à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo.
Depuis huit ans, Makutano propose au secteur privé du continent d’œuvrer à la réappropriation de leurs économies nationales respectives par les Africains. Pour ce faire, un dialogue rénové, basé sur le franc-parler avec les acteurs extra-continentaux mais aussi avec le décideur public est engagé.