La deuxième personnalité de l’entreprise chinoise CREC 7, Stéphane Mundadi qualifie « d’illégal » le protocole d’accord signé entre le Bureau Central de Coordination (BCECO) et le Ministère des Infrastructures Travaux Publics et Reconstruction (ITPR) pour l’exécution des travaux de construction de la route Kananga-KalambaMbuji.
En effet, l’entreprise chinoise dit ignorer le protocole à la base du lancement de ces travaux le 10 septembre dernier par le président de République, Félix Antoine Tshisekedi. Elle affirme avoir le droit de réhabiliter ce tronçon, soutenant que le « contrat signé par son entreprise avec gouvernement n’a jamais été résilié« .
Le numéro 2 de CREC 7 qui ignore l’existence de Toha Investissement, l’entreprise qui va exécuter les travaux, souligne que les matériels pour la poursuite de ces travaux jusqu’à leur finissage sont disponibles.
La population du Kasaï-Central, quant à elle, émet le vœu voir cette axe être réhabilitée. cette dernière de route d’espoir qui va faciliter les transactions commerciales et désenclaver la province.