Le Parti du Renouveau (PAR) de l’ambassadeur Symphorien Mutombo, mobilise l’électorat à Kananga en vue d’accorder un second mandat au président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Accueilli chaleureusement à Kananga par ses sympathisants massés le long de l’avenue Lulua ainsi qu’à sa résidence privée à Kamulumba, le directeur de cabinet du ministre national des hydrocarbures, Didier Budimbu, Alain Mutombo a tenu un meeting dans la soirée.
Après avoir remercié ses sympathisants pour l’accueil lui réservé, il a déploré la précarité des conditions socio-économiques de la province du Kasaï Centrale et son enclavement qui ne favorise pas son décollage.
Au cours de son adresse, Alain Mutombo s’est attelé sur le renouvellement de la classe politique d’ici 2023 en province pour comme solutions à cette situation.
Ce candidat malheureux aux élections de 2018 insiste, « il est impérativement nécessaire de lui accorder un second mandat afin.
» En 2018 ça s’est très mal passé pour nous mais actuellement je suis Agent de l’Etat et les tâches professionnelles ne m’ont permises d’être à Kananga au mois mai . Me voici, je ne suis pas importé. Moi et vous, nous sommes des victimes, aucun élu ne vient ni faire restitution encore moins encore y passer quelques jours . Cette situation doit ensemble nous ensemble nous révolter car nous n’avions pas fait un bon cher les élections législatives de 20h18« , a-t-il lancé.
Et d’ajouter : » En tant que citoyen, je fais déjà beaucoup , j’ai une radio, j’ai une ferme ainsi que cette usine qui n’attend que le désenclavement de la province. J’aimerais que vous soyez joyeux joyeux parceque ce pouvoir vous appartient. Je suis venu avec les livres pour notre Bibliothèque afin de permettre à nos frères,sœurs et jeunes de s’enrichir dans les conditions confortables. Certains ont quitté faute de route« , a-t-il conclu.
Inquièt de l’attentisme des gouvernants et des élus, l’homme n’a pas hésité de rappeler à la foule les mauvais choix opérés en 2018 lors des élections législatives et a dit s’associer aux habitants de Kananga qu’ils qualifient de victimes.